Dès la préhistoire, Grasse a attiré les gens qui y ont formé des villages.
Le mot Grasse vient d'un homme riche gui s'appelait Grassus.
Pendant la période des raids au Xe siècle les Grassois se sont réfugiés sur un enorme rocher du tuf, puis ils en ont rapidement font une capitale régionale. Le developpement de la parfumerie a rendu la ville très importante dans le sud de la France.
On a constitué un palais épiscopal, une tour et une cathedrale dans le centre de la ville actuelle.
a été construite au Xe siècle. On peut y voire l'architeecture gothique de la Provence. En outre, il y a des peintures de Rubens, Sébastian Bourdon et >Le Lavement Des Pieds< de Fragonard.
Dans la ville sur le rocher du tuf on tfouve des petites ruelles pittoresques qui sont vraiment uniques. De plus, il y a des maisons roses à loggias, terrasses, plantes grimpantes aux balcons, lourdes portes aux sculptures.
prend son essort avec la vogue des cuirs parfumés. Des parfumeurs se sont installés à Grasse, ils ont été attirés par le climat qui fait pousser des fleurs très delicates comme la rose, le jasmin, la janquille, la narcisse et les fleurs d'oranger. Aujourd'hui on y produit aussi des parfums pour l'industrie alimentaire.
Il presente des différents procédés de destillation, certaines techniques; on peut y voire aussi les appareils de fabrication et une collection des flacons dessinés.
La soeur du conte Mirabeau a fait construire ce musée. On y trouve une collection des importantes peintures de l'est de la Provence. En détail, il y a des salles avec des meubles des manères de Louis quatorze et -quinze, des pièces à l'art de peindre. En plus, on y trouve des objets décoratifs de Biot et Vallauris.
Il est instalé dans un hôtel d'un cousin de Jean-Honoré Fragonard. La ville de Grasse a acheté cet hôtel en 1975 et y a installé le musée.
Le père était gantier voulant que son fils devienne notaire mais Jean-Honoré aimait la peinture. Alors, il est allé à Paris où il a appris chez Chardin et Boucher. À vingt ans, il est devebu célèbre. Après la révolution il est revenu à Grasse où il a donné ses peimtures les plus connus à son ami Maubert. Puis il est revenu à Paris il n'était pas du tout très riche, mais il y restait jusqu'à ce jour ou il est mort.
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